Avatar mini Se connecter

A propos de Ataru

Ataru

Inscrit le 07/09/2021 à 22h49
Dernier passage le 23/03/2023 à 21h37
A accès aux fonctions avancées

Les articles publiés par Ataru

Les 5 derniers messages de Ataru

Contexte - 24/02 à 10:41:57  

0 

Blood Bowl 3 - Toujours en pré-saison

Blood Bowl 3, à ne pas confondre avec Superbowl,arrive avec fracas sur le pré vert. Huit ans après le deuxième opus, le titre de Cyanide souhaite apporter un vent de fraîcheur sur la série, et conquérir de nouveaux joueurs. Un pari difficile, qui risque de demander du temps.




Pour les deux du fond qui n’ont pas suivi, rappelons que Blood Bowl est à la base un jeu de plateau physique, où des personnages de l’univers Warhammer se foutent sur la tronche dans ce qui ressemble à du football américain, en (encore) plus violent.
Orcs, elfes, skavens et humains se retrouvent donc pour des matchs endiablés, où les placages un peu trop virils sont fréquents, laissant pour mort deux trois joueurs par-ci par-là.
Pas de révolution de ce côté, Blood Bowl s’inscrivant dans la droite lignée de son prédécesseur, avec une ambiance qui fonctionne toujours aussi bien.
On regrette toutefois la disparition des commentaires en français, qui ne manquaient pas de sel dans Blood Bowl 2.


Viril, mais pas toujours correct


Si Blood Bowl fait la part belle aux bourre-pifs, il n’en reste pas moins un jeu où la stratégie occupe une place importante.
Plus tactical que jeu de sport, ce troisième opus propose toujours une grande profondeur de jeu.
On trouve donc 12 équipes aux caractéristiques bien particulières.
Les skavens par exemple, de par leur agilité, permettent de déborder l’adversaire à base de passes léchées, mais se font rapidement...

Consulter l'article en entier

Contexte - 22/02 à 10:40:41  

0 

Bien débuter sur Hogwarts Legacy - Quelques astuces pour avoir la meilleure expérience de jeu

Hogwarts Legacy n'est pas un RPG très retors, mais il est bon d’avoir quelques petites astuces à l’esprit pour en profiter pleinement.

Jouez en difficile ! On ne dit pas ça pour faire les "hardcore gamers", mais les modes de difficultés en dessous ne proposent pas un grand challenge, ce qui est vraiment dommage, car il devient inutile d’utiliser toute notre panoplie de sorts, et l’on passe à côté de combats intéressants. Au pire, il est toujours possible de changer de difficulté à la volée.

Forcez-vous à utiliser tous vos sorts en combat ! Un des défauts du jeu est qu’il ne pousse pas toujours à “bien jouer” pour venir à bout des ennemis (notamment dans les difficultés les moins élevées). Il suffit souvent d’appliquer la méthode attaque de base, esquive, contre (en s’armant de patience) pour venir à bout des ennemis. Or, c’est passer à côté de tout l’intérêt du système de combat. N’hésitez pas à monter la difficulté et à vous investir pleinement pour en profiter. Après tout, monter un ennemi en l'air avant de lui écraser le crâne contre le sol avec Descendo, c'est plutôt fun.






Prenez votre temps et n’hésitez pas à vous écarter de la trame principale: certaines quêtes annexes se révèlent plus intéressantes du point de vue narratif que l’histoire principale. De plus, Poudlard vit au rythme des saisons, et chaque période apporte son lot de petites spécificités esthétiques (le...

Consulter l'article en entier

Contexte - 20/02 à 10:31:07  

0 

Hogwarts Legacy - La magie opère

S’il y a bien une licence qui manquait à l’appel ces dernières années dans le monde vidéoludique, c’est celle d’Harry Potter, un univers qui a désormais plus de vingt ans, mais qui a su traverser les époques et les générations. Alors que la série semblait définitivement enterrée sur le plan vidéoludique, Warner surprenait son monde en 2020 en dévoilant Hogwarts Legacy, premier RPG en monde ouvert dans l’univers des sorciers. Un titre aussi ambitieux qu’attendu au tournant par les fans. Et pour une première incursion dans le monde du triple A, le studio Avalanche tape en plein dans le mille.






L’histoire d’Hogwarts Legacy se déroule dans les années 1800, bien avant la période décrite dans les livres de J.K. Rowling. On y incarne un jeune sorcier qui intègre directement la cinquième année de la plus célèbre école de magie au monde. Notre héros semble disposer de capacités un peu spéciales, qui intéressent un gobelin du nom de Ranrock, dont les intentions ne sont pas très louables. Si les têtes d’affiche des films et livres manquent logiquement à l’appel vu l’époque, les développeurs ont pris soin de faire apparaître toute une galerie de personnages en lien avec Harry et sa bande: on retrouve donc des membres de la famille Weasley, ou encore Nigellus Black, en lien avec un certain Sirius.
Le scénario d’Hogwarts Legacy ne fait pas dans la grande originalité, mais il a le mérite de tenir la route et nous donne...

Consulter l'article en entier

Contexte - 18/02 à 19:20:58  

0 

Forspoken - Rendez-vous en terre inconnue

Auteur d’une année 2022 riche en sorties, et en attente de ses deux prochains mastodontes Final Fantasy XVI et Final Fantasy VII Rebirth, Square Enix tente d’occuper le terrain très chargé de ce début d'année 2023 avec Forspoken. Une nouvelle licence prometteuse, mais malheureusement, derrière les promesses et les jolies bande-annonces, il ne reste pas grand-chose.






Le jeu nous fait incarner Fey, une jeune Américaine marginale au passé de délinquante, qui ne cherche qu’une chose: fuir. Ce qu’elle n’avait pas prévu en revanche, c’est d'atterrir dans un univers d'heroic fantasy. C’est ainsi que notre héroïne débarque comme un chien dans un jeu de quilles dans le royaume d’Athia, au bord du chaos à cause d’une sorte de brume magique. Disons-le clairement d'emblée: ce n’est pas par son scénario ou sa narration que Forspoken brille. Souvent bavard, mais jamais très pertinent, le jeu est une sorte de gloubi-boulga de différentes œuvres d’héroic fantasy existantes, à base d’héroïne venue sauver un monde en péril. Le tout sonne extrêmement générique, et la mise en scène très pauvre ainsi que le ton faussement léger adopté régulièrement par Fey n’aident pas à se sentir concerné par le destin du monde d’Atiah.


Une réalisation datée

Du côté de la direction artistique, on retrouve les mêmes soucis: le jeu alterne entre le fade et l’incohérent. Le bestiaire et le look des soldats partent dans tous les...

Consulter l'article en entier

Contexte - 05/02 à 11:13:21  

0 

Dead Space (remake) - Dans l'espace, personne ne vous entendra crier... dans votre salon, peut-être

Fermez les yeux. Nous sommes en 2008, et une petite révolution du survival horror s’apprête à débarquer pour mettre tout le monde d’accord. Rouvrez les yeux: quinze ans après, vous êtes toujours plongé dans le noir, piégé dans ce vaisseau spatial abandonné, à chercher une issue. Sauf que le vaisseau en question est passé entre les mains de bricoleurs pour subir quelques transformations. Bienvenue dans Dead Space version 2023.






Isaac est un homme ordinaire. Tous les matins, il part faire son travail. À la différence que son lieu de travail se situe à quelques centaines de milliers de kilomètres de la planète Terre. Une broutille, me direz-vous. Sauf que lorsque lui et son équipe arrivent près de l’Ishimura, un vaisseau minier qui ne donne plus signe de vie, les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu. Ce qu’il pensait être un simple problème technique réparé en deux coups de tournevis va s’avérer être un véritable cauchemar. Ni une ni deux, il échange son tournevis contre un cutter plasma pour aller dessouder les monstres peuplant le vaisseau en essayant de se frayer un chemin vers la sortie.


Une technique au top niveau

Si la trame principale s'avère agréable à suivre, le jeu ne brille pas particulièrement par son scénario, qu'il emprunte à beaucoup d'œuvres de science-fiction (on pensera par exemple à Event Horizon, The Thing ou même 2001: L'odyssée de l'espace). Ce qui le distinguait déjà en 2008,...

Consulter l'article en entier


Voir tous les messages de Ataru